A propos
La Guadeloupe
La Guadeloupe
Département d'Outre Mer
1 628 km²
Archipel des Caraïbes
La Guadeloupe et ses spécificités
A vivre, à découvrir
L’île fut découverte par Christophe Colomb en 1493, le 19 mars 1946 elle devient Département d’Outre-mer, puis Région en 1974.
Territoire français d’outre-mer, la Guadeloupe est un groupe d’îles situé dans le sud de la mer des Caraïbes. Ressemblant à un papillon, ses deux plus grandes îles sont séparées par la Rivière Salée. L’île vallonnée de Grande-Terre possède de longues plages et des champs de canne à sucre. Sur l’île de Basse-Terre, le parc national de la Guadeloupe abrite les chutes du Carbet et le volcan de la Grande Soufrière. Parmi les îles de plus petite taille figurent Marie-Galante, Les Saintes, Petite Terre et la Désirade.
Se baigner dans les eaux bleues de Marie-Galante… Se promener le long du littoral de La Désirade… S’offrir des plongées inoubliables à la recherche des poissons multicolores… Visiter les distilleries entourées de champs de cannes… Grimper au sommet de la Soufrière… Passer une soirée romantique dans un petit restaurant en bord de plage…. Découvrir la mangrove en kayak de mer…. Passer une journée aux Saintes et y déguster les tournants d’amour….Photographier les iguanes à Petite-Terre… Se cultiver en visitant le Mémorial Act… Se laisser bercer dans un hamac au milieu d’une végétation luxuriante….voilà quelques-unes des possibilités que vous offre la Guadeloupe !
Basse-Terre
Un charme naturel et une beauté si majestueuse !
Dominée par la Soufrière (1467 m), la Basse Terre est la partie montagneuse et volcanique de l’ile.
La végétation luxuriante abrite une faune exotique et une magnifique forêt tropicale traversée par de nombreuses rivières, ravines, bassins et cascades, appelées «sauts». D’est en ouest, la route de la Traversée, permet de découvrir cette forêt tropicale, parc national de la Guadeloupe, inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Paradis des randonneurs, la Basse-Terre possède de nombreux itinéraires de randonnée balisés qui s’adaptent à tous les niveaux.
Première région habitée de Guadeloupe, la Basse Terre a gardé un côté authentique.
De multiples témoignages de la diversité culturelle de la Guadeloupe s’offrent aux visiteurs. : nombreuses sont les communes qui possèdent un édifice réalisé par l’architecte Ali Tur au début du XXe siècle, à Trois-Rivières, le Parc des Roches Gravées réunit des pétroglyphes et des dessins datant du IVe siècle apr. J.-C, vestiges archéologiques précolombiens des premiers habitants, les habitations traditionnelles sont omniprésentes de ce côté-ci de la Guadeloupe, c’est le cas par exemple de La Grivelière à Vieux-Habitants, rénovée et gérée par une association et devenue aujourd’hui Maison du Café, le climat tropical a permis l’émergence de fabuleux jardins botaniques comme celui de Deshaies, les chutes d’eau et les sources d’eau chaude sont également une des spécificités de la Basse Terre, ne passez pas à côté des Chutes du Carbet ou des Bains Jaunes Saint Claude.
Côté plongée, la Réserve Cousteau regorge de sites exceptionnels : jardins de corail, faune sous-marine diversifiée…
Enfin, un détour par les superbes plages de sable gris ou noir, lié à l’activité volcanique de l’ile, s’impose.
Grande-Terre
Des paysages fascinants et des sensations extraordinaires !
Bordée par l’océan Atlantique, la Grande Terre est surnommée la petite Bretagne des Antilles.
Ce côté oriental de la Guadeloupe bénéficie d’un climat plus sec que la Basse Terre, mangroves, champs de canne à sucre, brousse tropicale et mornes verdoyants en forment le paysage.
Au nord et à l’est, les plaines prolongées par des falaises plongent dans l’Atlantique.
Le littoral est bordé de plages de sable fin et blanc aux eaux limpides, frangées de cocotiers et protégées de récifs coralliens.
Cette partie de l’île dévolue à l’agriculture, principalement à la canne à sucre, est le poumon économique de la Guadeloupe, l’industrie et les services étant centralisés à Pointe à Pitre et sa périphérie.
La Grande Terre possède de séduisants sites naturels et des points de vue incroyables : les Grands fonds, plateau calcaire, érodé par les pluies et les rivières, qui dessine d’innombrables mornes couverts de terres cultivées et de profondes vallées, la Pointe des Châteaux, superbes points de vue entre plages de sable blanc et falaises ocre érodées battues par les vents, les falaises de la Grande Vigie et la porte d’Enfer, magnifique panorama sur l’océan, Pointe-à-Pitre, avec ses marchés parfumés et ses bâtiments à l’architecture créole ou contemporaine.
Nombre d’infrastructures viennent compléter l’offre touristique : les spots de surf et de planches à voile qui sauront séduire amateurs de glisse, kite surfeurs et plongeurs, les nombreux restaurants et hôtels, inscrits dans la plus pure tradition de l’art culinaire créole, les casions et les discothèques.
Les Saintes
Un décor de carte postale
Lieu magique, s’étirant sur une mer turquoise au sud-ouest de la Guadeloupe, l’archipel des Saintes se compose de deux îles principales, Terre-de-Haut et Terre-de-Bas, et de six îlets inhabités : le Rocher du Pâté, l’îlet de la Rotonde, l’îlet des Augustins, l’îlet de la Coche, le Grand Ilet et l’îlet Cabrit.
C’est Christophe Colomb qui a baptisé cet archipel du nom de Los Santos en l’honneur de la fête de la Toussaint.
Les Saintes sont devenues un haut lieu du tourisme réputé dans toutes les Antilles.
Terre-de-Bas beaucoup moins touristique que Terre-de-Haut, a gardé un côté naturel et traditionnel, où tranquillité, calme et verdure se font la part belle.
Marie-Galante
L’île aux cent moulins
Marie-Galante est la première île de l’archipel guadeloupéen que Christophe Colomb a atteint lors de son second voyage. L’explorateur débarqua au lieu dit « Anse Ballet » à Grand-Bourg le 3 novembre 1493. Il donna à l’île le nom de son vaisseau amiral « Maria-Galanda ».
Aujourd’hui 72 tours de moulins sont encore visibles. Avec ses champs de canne à perte de vue, l’île a su garder son authenticité et sa sérénité.
Les communes de Saint-Louis, de Grand-Bourg et de Capesterre-de-Marie-Galante composent son territoire.
Également appelée la Grande Galette, Marie-Galante bénéficie d’un lagon exceptionnel aux eaux turquoises protégées par une barrière de corail.
Pour bien visiter Marie-Galante il faut prévoir au moins trois jours.
La Désirade
On se rend à la Désirade par mer, 45 mn depuis Saint-François, ou par air, 15 mn depuis l’aéroport Pôle Caraïbes.
Terre de refuge et de marins
Au large de la Pointe des Châteaux, voici La Désirade, l’île tant désirée ! Vue de loin, sa forme évoque la quille d’une barque renversée.
Découverte en 1493, lors de son second voyage par Christophe Colomb, l’île fut nommée « Deseada » par les marins qui voyaient enfin une île après deux mois de traversée.
La Désirade vit hors du temps. Calme et simplicité caractérisent ce rocher tabulaire bien différent des autres îles de l’archipel. Rien ne semble en effet pouvoir perturber l’atmosphère tranquille qui règne sur l’île, ni modifier l’authenticité et l’accueil bienveillant de ses habitants composés en grande partie de descendants de Bretons, de Normands, de Poitevins.
Longue de 11 Km et large de 2, elle possède de magnifiques plages de sable blanc protégées par de longues barrières de corail qui enchanteront baigneurs et plongeurs.
Seul le littoral Sud est habité. L’unique route rectiligne relie Grande-Anse, bourg principal, aux différents quartiers, Les Galets, Le Souffleur et Baie-Mahault…
La Désirade, tout comme les îles sauvages de la Petite-Terre qui lui sont rattachées, offre une végétation étonnamment diversifiée. On y trouve aussi de belles et intéressantes colonies d’animaux : iguanes, agoutis, paille en queue…
Petite terre
Paradis de la faune et de la flore
Réserve naturelle protégée
Situé sur un plateau calcaire d’origine corallienne reliant Basse-Terre (Guadeloupe) à la Désirade, Petite Terre est la conséquence du lent développement dans cette zone d’un récif corallien.
En 1840, le premier phare guadeloupéen est érigé à Petite-Terre pour répondre au besoin de signalisation toujours croissant dû à l’intensification de la pêche et du commerce maritime.
Depuis 1998, Petite-Terre est devenue une réserve naturelle marine et terrestre. L’archipel est géré par l’Office National des Forêts.
Deux îles, Terre de Haut et Terre de Bas, forment l’archipel de Petite Terre.
Si Terre de Bas est accessible au tourisme, Terre de Haut est rigoureusement interdite au public, seuls des scientifiques et les gardiens de la réserve sont autorisés à s’y rendre.